Nelle prime pagine cercavo di spiegare quanto sia nobile il nostro selvatico e quale dovrebbe essere la vera caccia da esercitare su di lui, ma avendo il colombaccio da diversi decenni costantemente aumentato la sua popolazione in tutta Europa si riscontra alla pari anche un notevole incremento della pressione venatoria nei suoi confronti ed in diversi paesi esiste ora una nuova caccia che ha praticamente copiato la tradizionale Caccia al colombaccio praticata nei boschi sulle linee della migrazione. Questo selvatico così capace ed imprevedibile malgrado che meteo, fame o sete lo possano assillare mentre prosegue sulle rotte della migrazione deve invece, nelle fasi di stopover e/o di svernamento concentrarsi, riposarsi e nutrirsi anche nelle pianure.
Bene, ecco che abbiamo scoperto due punti deboli del colombaccio:
1°) il fatto di essere GREGARIO anche se questo lo aiuta in diverse situazioni.
2°) il bisogno di NUTRIMENTO malgrado che in certe condizioni questo bisogno non lo assilla e lo porta a digiunare per diversi giorni.
In conseguenza di questi fattori determinanti anche il campo diventa un luogo dove il cacciatore si confronta con il selvatico ma solo dopo avere osservato, riflettuto con una astuzia che deve essere pari a quella dell’istinto selvatico. Noi cacciatori con il cervello e loro i colombacci molto con l’istinto. Qualcuno crede forse che sia facile? Niente affatto, e dove secondo voi inizieremo la prima azione di questo grande confronto ?? Vi aiuto un po:l’azione inizia molto lontano sia nel tempo che nel luogo………… Beh, non siate impazienti : Intanto riflettete fino al mio prossimo intervento.
Nelle foto che trovate sotto si possono osservare i due punti deboli del selvatico:
1°) il concentrarsi ossia il fatto che sia gregario.
2°) il bisogno di nutrimento reperibile anche in terra.
Alla ricerca di mais nella stoppia
Traduction Française:
Dans les premières pages de ma rubrique j’ai essayé d’expliquer à quel point notre pigeon ramier est donc un gibier noble et quelle chasse faudrait’il exercer sur lui, mais le pigeon ramier ayant, pendant les dernières décennies, constamment augmenté sa population dans toute l’Europe il y a eu aussi une augmentation significative de la chasse et maintenant dans plusieurs pays il existe une nouvelle chasse qui a pratiquement copié la chasse traditionnelle pratiquée dans les bois sur les lignes de migration.
Cet oiseau, autant imprévisible que sauvage, malgré que la meteo, la faim et la soif peuvent le tourmenter malgrè qu’il resiste tout en continuant sur les routes de migration aura plutôt, dans les périodes d’escale et/ou d’hivernage, bien besoin de repos et de nourriture dans les plaines aussi.
Eh bien, nous avons découvert ici deux points faibles du pigeon ramier:
1 °) le fait d’être grégaire même si cela l’aide dans des situations différentes.
2 °) le besoin de nourriture malgré le fait que sous certaines conditions ce besoin ne le hante pas et le conduit parfois à jeûner plusieurs jours.
Conséquence de ces facteurs déterminants, les plaines et les champs deviennent un lieu où le chasseur se confronte avec lui seulement après avoir observé, réfléchi avec une ruse qui doit être égale à celle de l’instinct sauvage du pigeon ramier.
Nous, nous le chassons avec l’aide de notre cerveau et eux les ramiers à se dèfendre avec l’aide de l’instinct sauvage.
Quelqu’un croit que c’est facile?
Pas du tout, et où pensez-vous que nous allons commencer la première action de cette belle chasse ?
Je vous aide un peu: l’action commence très loin dans le temps et dans le lieue …………
Eh bien, ne soyez pas impatient: en attendant, réfléchissez jusqu’à ma prochaine intervention.
Dans les photos au-dessus de l’article vous pouvez voir les deux points faibles du pigeon ramier :
1° photo) la concentration parceque le pigeon ramier devient grégaire surtout pendant un escale de la migration et aussi pendant l’hivernage.
2° photo) le besoin de la nourriture qu’il trouve aussi bien par terre.